Evan L. Mattews

Ce qui fait de la vie qu'elle si belle et qu'on a tant envie de la vivre à fond, c'est surtout car elle est la seule chose qu'un être humain ne puisse réèllement controler. Alors, lorsque l'on a toujours plus on moins été face au danger de perdre ou qu'on a perdu les êtres qui nous sont chères. Nous faisons parti de ces gens qui, encore plus que les autres, sont éffrayés par la mort et conscient de la chance qu'ils ont de vivre. Mais tous ceci n'a aucun sens si l'on ne connait pas les étapes qui font qu'on arrive à cela ... et pourquoi à l'heure d'aujourd'hui l'instant de survi du jeune Evan Mattews est si puissant.
Son histoire commence d'abord comme toutes les autres, enfin en tout cas, le plus banalement possible. Née dans l'amour de deux êtres, tous deux aurors, tous deux issus de gryffondor et pleins de valeurs et de bienveillance, prêts à croquer le monde à pleine dents et surtout heureux de connaitre la joie de donner la vie. Les trois premières années de la vie du jeune homme, furent somme toutes, des plus plaisibles. Dans leur grande maisons en banlieue londonienne tous récemment achetée pour le bien être de la famille qui s'agrandissait encore. Et oui, à trois ans, il ne pouvait s'en rendre compte mais le ventre de sa mère annonçait la bonne nouvelle, qu'une petite allait bientôt voir le jour. Mais ce jour d'été 2014, tout allait pourtant basculé ...

Devant Lea Mattews, portant dans ses bras son fils, se trouvait un soleil magnifique entrain de se coucher mais cependant elle ne pouvait pas prendre le temps d'observer. Elle était au demi pas de course entrain de suivre son mari dans des rues bien désertes du quartier ou ils habitaient.

"Attends moi, pourquoi doit on fuir comme ça ? qu'est ce que tu me caches ? c'est encore l'histoire avec les frère austin ?"

Il ne laissa pas échapper un mot envers sa tendre épouse, il ne voulait surtout pas lui dire qu'elle avait raison. Et qu'en arrêtant le frère du chef d'un pseudo gang de sorcier noir, il venait de se mettre, lui et sa famille, en danger. Il savait juste qu'à cet instant une bande de sorcier se dirigeait vers lui et il l'avait appris seulement aprés être rentré chez lui ... Pas le temps de mettre Lea et Evan à l'abris, il fallait qu'ils rallient le bureau avant qu'ils ne le trouve. Mais cela ne se passa pas comme prévu ... Un éclair vert dépassa Lea et son fils et frappa de plein fouet le père de famille qui s'écroula. La maman poussa un cri mais d'un geste protecteur serra fort son fils contre elle et se colla contre un mur. Ils n'étaiet pas la pour la tué, heureusement vu les cinq sorcier qui les regardaient d'un air mauvais. Sa mère en sanglot, son père étalé au sol et un homme lui ricannant au visage, voila, le premier souvenir mémorable de la vie d'Evan.

Il est donc à présent facile de comprendre pourquoi le jeune garçon accorde tant d'importance à la vie. La suite de celle ci ne ressembla donc pas à ce qu'elle aurait du être avant la perte de l'être aimé. Premièrement, sa mère ne se remise jamais de cette journée et passa tout le tant de sa vie à se plonger dans le travail. Traquant les criminels et sorcier psychopate en faisant des heures supplémentaires inlassablement et n'en ayant jamais assez. Comme si elle portait seule le poid 'une guerre contre le crime, une vendetta en l'honneur de son défunt épou qui ne finirait jamais. Evan ,lui, géra ça plus facilement et aucune séquelle ou presque n'en ressorti comme si cela lui avait donné le don de toujours gérer et controler ses émotions, un impact sans doute pas rechercher mais qui était bel et bien la, en apparence. Il s'occupa beaucoups de sa petite soeur et elle est certainement la seule personne qui à l'heure d'aujourd'hui le connait réèllement. De nature méfiant, il sait que la confiance se mérite et n'accorde pas facilement la sienne mais lorsque c'est le cas, on trouve alors une personne forte et prête à tout pour le bien de ceux qui lui sont chères, de courageux ... Un être fiable en qelques sortes. Cependant ses facultés d'aisance et sa bonne intelligence font qu'il peut parfois se montrer hautain et ne se gène pas pour jouer avec ça. Il sait que les personnes qui le connaisse savent qu'il ne se prend pas au serieux et pour les autres, il n'en a que faire. C'est comme pour les filles, il c'est plusieurs fois rapproché de certaines d'entre elles, il sait user de ses charmes, mais chaque fois que cela a failli devenir serieux, inconsciemment la plupart du temps, recherché des fois, il a toujours tout fait capoter. Peut être que pour lui c'est le sentiment le plus dangereux, la clef qui permet d'ouvrir et d'obtenir la question de "qui es tu au fond?". Qui il est ? Il n'aime pas qu'on le sache c'est peut être pour ça d'ailleurs qu'il deteste tant le choixpeau magique, venant alors au second plus grand souvenir de sa vie, l'autre moment décisif...

Evan était agassé lorsqu'il s'approcha du vieux choixpeau sur le tabouret devant lui... Qu'elle drêle d'idée se disait il. Comment ce machin pouvait savoir ce qu'il y avait en lui, personne ne le savait. Mais il fallait se prétter et il le mit comme tous le monde.

"Hum bizzard, je sens beaucoups de confusion en toi ... Tu me parais être quelqu'un qui ne croit pas en grand chose, pour le moment, enfin on sait tous les deux que c'est ce que tu éssayes de laissé paraitre par tous les moyens"

"Flippant ..."

"Mais non mon garçon, il ne faut pas avoir peur... Je vois du courage en toi, beaucoups de courage ... Mais je vois aussi une grosse dose de colère ... Si si croit moi c'est la au fond, mais c'est la. Tu es du genre à garder la maitrise tout le temps mais on ne peut pas me cacher ce genre de chose. Je vois aussi beaucoups de sentiment que tu te refuse à dévoiler envers tes proches ... Hum un esprit en bordel portant l'aspect de l'assurance, c'est intéréssant. Il y a beaucoups de travail à faire avec toi, et beaucoups de choses à apprendre ... mais un énorme potentiel ... Si tu parvient à dépasser ,et ne te méprant pas c'est le bon mot, la peur qu'il y a en toi de te dévoiler pleinement. Ca me parait évident qu'une seule maison pourrait canaliser tout ça ..."

Stupéfait d'entendre tout ça, d'un geste machinal, le jeune homme croisa les doigts et attendit la sentence.

35 lignes obligatoire. !